Les oeuvres mortes sont constituées d’un pont en ABS thermoformé et fraisé sur le dessus ainsi que d’un kiosque également en ABS.
Le nez du pont a été refait car au thermoformage l’ABS n’a pas suffisamment été aspiré pour épouser la forme du moule. Les fraisage simulant le caillebotis typique sur ce type de sous-marin sont beaucoup trop larges puisqu’à l’échelle la jambe passe à travers !
Une feuille d’ABS est donc recollée au centre de chaque fraisage pour un résultat plus conforme à la réalité.
 Photo 1 Les ouvertures des caillebotis sont bien trop larges. Des languettes d’ABS ont été collées par dessous pour réduire l’espacement.
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Les rambardes du kiosque sont refaites en laiton soudé ainsi que l’échelle et la main courante.
Le Barrage-Net-Saw, cette espèce de scie placée sur l’étrave est est réalisée en laiton de 1mm renforcée à la base par un profilé en U. A ce niveau là il faut construire solide, on ne sait jamais sur qui ou quoi on peux tomber en faisant surface (le bateau des « copains » par exemple !).
Enfin je suis à la recherche d’un canon à mouettes de 105 mm au 1/72 mais mon ami Jean-Luc grand spécialiste de tous ce qui est gris mat et qui flotte au garde-à-vous m’assure que je trouverai cela facilement...
Voila où en sont mes réflexions et réalisation à ce jour, je vise une mise à et dans l’eau au printemps 2000.
Quelques semaine après sa première mise à l’eau, lors d’une plongée dans le bassin du chateau de Ferrières, le sous-marin de Rémi n’est pas remonté...