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RB-M au 1/15 - Modifications techniques

mardi 15 octobre 2013, par Albertus

L’antenne du récepteur
- Un quatrième problème tenait à la fréquence du récepteur (2,4ghz), ou plus exactement à son antenne minuscule. En 2,4ghz il est important d’éviter le "masquage" de l’antenne, celui-ci étant provoqué par un obstacle en matériaux conducteur (carbone, métal), ou électrionique (fils), ou liquide (eau). L’idée de dresser l’antenne au dessus du pont mais dans la cabine en ctp fin est donc valable, mais après les différentes installations l’antenne "trainait" sur le côté du récepteur, presque au fond du bateau et à côté d’un des moteurs. Je l’ai donc refixée correctement en place et maintenant la portée est sans problème à plus de 200m. Pour rappel, sur un bateau, l’antenne de réception 2,4ghz DOIT être verticale, ainsi que la partie mobile de l’antenne de l’émetteur


Les algues
- Cinquième problème : les algues et autres feuilles mortes flottant sur le plan d’eau. Les hydro-jets pompent l’eau sous le bateau par de larges ouvertures. L’ennui c’est quand l’eau n’est pas propre ! Lors de la première navigation, j’avais passé un bon quart d’heure à enlever les saletés coincées dans le rotor, avec une pince à long bec. A peine reparti, le jet s’arrêtait de nouveau rapidement. Il est vrai que l’eau du bord de l’étang est généralement plus envahie par les feuilles mortes que le milieu de l’étang.

J’ai donc posé des grilles devant les ouvertures, après avoir dialogué sur le sujet avec Monsieur Kehrer (fabricant des jets) sur la meilleure forme à leur donner. Finalement les grilles sont réalisées en soudant 5 fils de laiton de Ø 1,25mm sur deux plats de 5x1mm encastrés à fleur dans le fond de la coque juste devant et derrière le trou d’aspiration.

Maintenant, les jets aspirent encore parfois les feuilles mortes qui flottent près des bords, mais la solution consiste à couper le moteur, attendre une ou deux secondes, puis remettre les gaz progressivement. Lors de l’arrêt du moteur, le reflux d’eau décolle la feuille de la grille et permet de repartir (du moins je suppose que c’est comme ça que ça se passe, en tous cas ça marche)


La vitesse
- Oui, la vitesse est une chose difficile à maîtriser. Elle est à la base d’un sixième problème : lors de la "Fête du Lac" de Vielsalm, lors d’une démo, j’ai pris un virage trop large et trop près de la rive, à pleins gaz, et le bateau... est sorti de l’eau ! Les berges de ce lac sont en pente douce, et sont stabilisées par des croisillons en béton (dalles gazon) qui s’enfoncent sous l’eau sur plus d’un mètre. Cet aménagement a catapulté le bateau sur la rive, à plusieurs mètres du bord. Au passage, la quille a été rabotée par le béton et les ailettes de guidage ont été arrachées. Le temps que j’arrive sur place (200m), un spectateur essayait de ramener le bateau vers l’eau en le tirant par la rambarde... en pvc collé... qui n’a évidemment pas tenu !

J’ai donc remplacé les ailettes en tilleul qui étaient collées sur le fond, par des ailettes en CTP de bouleau encastrées dans le fond et maintenues à l’intérieur par des congés d’Araldite. J’ai ensuite protégé la quille par un plat de laiton de 8x2mm, vissé dans la quille par des vis en inox.

J’ai recollé la rambarde tordue et l’ai consolidée en place par un filin enroulé. L’ancre en carton du bateau, éjectée lors du crash et non retrouvée, a été remplacée par une ancre en ctp de bouleau que j’ai cette fois fixée en place

Les premi

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