La notice affirme que le montage de la machine à vapeur ne présente pas de réelles difficultés et elle a raison. Il y a toutefois certaines choses à préciser.
Assemblage de la chaudière
La chaudière est constitué d’un tube PVC sur lequel viennent se coller des pièces en bois et un placage en feuille de cuivre. Le tube est d’abord percé pour préparer la mise en place des petits volants ainsi que du thermomètre. La feuille de cuivre est collée à la colle contact néoprène puis la chaudière est percée pour recevoir les clous qui figurent les rivets. Ces clous sont collés à la cyanolite par l’intérieur (contrairement à ce que j’ai fait :-((). La porte de la chaudière est collée à l’epoxy. Les pièces en bois ont été collées entre elles à la colle blanche et collées sur le tube PVC à l’époxy après avoir pris soin de nettoyer et de dépolir l’intérieur du tube.
Assemblage du moteur
Le moteur est en plastique injecté. Son assemblage se fait donc à la colle à maquettes plastiques. Ma préférence va vers la colle liquide. Il faut prévoir un rebouchage massif au Putty car les pièces s’ajustent mal. Certaines pièces sont en bois et sont aussi enduites de Putty pour boucher les pores.
 | Photo 1 Montage de l’armature du capot. Les extrémités ont été plaquées avec de la carte plastique, celà simplifie la finition. |
Le capot de la transmission
Ce capot n’a pas été assemblé conformément à la notice. Au lieu d’employer la feuille de bristol fournie, j’ai coffré la structure avec de la feuille offset (aluminium 4/10e). Des rivets ont été imprimés sur l’envers de l’aluminium avec une roulette de cordonnier. Les deux extrémités du capot ont été plaqués avec de la carte plastique 1mm. Le tout a été apprêté puis peint couleur rouille (Humbrol 100) dans un premier temps et en noir mat dans un second. Comme pour les bouteilles de gaz, la peinture a ensuite été grattée pour laisser apparaître la couleur rouille. Un brossage à sec en gris moyen permet de donner du relief aux rivets et aux angles.