Les détails

Dans une construction à grande échelle, de nombreux détails peuvent (et doivent) venir égayer le modèle. L’aspect réaliste de la maquette incite d’ailleurs à pousser le fignolage.

Le pont deviendra vite encombré, comme d’ailleurs le pont des vrais chalutiers. Des pneus servant de défense trainent sur la plage avant, des cordages, des bouts de chaîne, des cables s’enroulent un peu partout.

plage avant Le fût d’huile est confectionné avec le manchon d’un rouleau de papier wc, je décris à part sa réalisation en détail.

La cabine, bien sûr, doit absolument correspondre à la réalité. Par les fenêtres, l’intérieur se voit. Les portes doivent pouvoir s’ouvrir et laisser découvrir les coursives. Sur les vitres, on peut même figurer les embruns en soumettant le cello des vitres aux vapeurs de colle cyano : la transparence disparait, laissant place à la translucidité. Un masque en papier collé peut protéger la vitre dans la trace du balayage de l’essie-glace. Effet garanti !

Le treuil n’est pas fonctionnel, je ne pourrai donc pas pêcher au chalut ! il est en bois et laiton, chaque tambour est chargé de 15 mètres de cable rouillé, soit plus de 200 mètres en réalité.

Les volants de freins sont en plastique (accastillage Graupner) car bien sûr, quand on trouve des éléments d’accastillage pouvant convenir, il ne faut pas hésiter à les utiliser.

Les casiers à poisson paraissent empilés, mais sont en réalité fabriqués d’une seule pièce. Ils masquent les interrupteurs de la radio et du moteur, ainsi que les prises de rechargement des batteries