Après plusieurs essais qui valident les options choisies, je finalise l’implantation du matériel que j’avais installé provisoirement.
Programmation de la commande bimoteur que j’avais envoyée au constructeur pour contrôle suite à une entrée d’eau intempestive.
Ensuite je réalise un montage électronique pour allumer le récepteur radio à l’aide d’un aimant grâce à des contacts ILS (Interrupteur à Lame Souple).
Je ne connais absolument rien à l’électronique, c’est pour cela que je constate avec grand plaisir que mon montage fonctionne très bien dès la première mise en fonction.
C’est un montage basique, mais un petit exploit pour moi (ne rigolez pas).
J’ai d’abord assemblé des morceaux de PVC pour fabriquer un cache qui servira à dissimuler le faisceau de fils électriques et sera également le support de la led et du relais bistable.
Le cache en PVC, le relais bistable et la led clignotante.
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Le premier essai, tout fonctionne parfaitement.
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La platine avant a été modifiée pour un équipement différent, dessous il y a les deux servos pour les barres avant et dessus les servos qui commandent les deux ballasts d’extrémités.
A gauche, la nouvelle platine en préparation.
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Tous les emplacements susceptibles de pouvoir contenir un servo seront employés, tels les deux trous dans le fond de la coque étanche.
Le servo du presse durite.
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Installation finale.
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Parmi les petites améliorations, il y a le remplacement des écrous qui maintiennent les platines avant et arrière, et supportent les joints des capots étanches.
En effet, il y a un écrou avec une rondelle, sur celle-ci la platine, sur la platine une rondelle puis un écrou. Plus haut un autre écrou et une rondelle qu’il faut régler en hauteur car ils supportent le joint rond du capot supérieur.
Les nombreux démontages des essais et réglages deviennent vite fastidieux avec tous ces écrous à démonter et à régler au remontage.
Le montage rondelles et écrous prévu à l’origine.
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Donc ces écrous de maintien seront rapidement échangés avantageusement par des tubes en cuivre qui serviront d’entretoises réglées définitivement en hauteur et ainsi plus pratiques pour les nombreuses manipulations obligatoires.
Plus tard ces entretoises en cuivre seront remplacées par des modèles en aluminium plus agréables à l’œil et plus légers.
Vue sur les entretoises.
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LE BER
Chaque fois que je déplace la coque du TYPHOON, je regrette de ne pas avoir de support pour le poser en sécurité. Donc je vais construire un ber avec du bois que je possède depuis longtemps et dont je ne sais pas quoi faire.
En effet, j’ai deux morceaux de bois de platane à l’aspect inhabituel mais pas vilain. Sur une feuille de papier, je dessine la forme de ce que je souhaite et je colle ce dessin sur le bois que je vais découper.
Le dessin collé sur le bois pour une découpe précise.
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il suffit de suivre le trait pour obtenir la forme désirée, ensuite ponçage.
Bruts de sciage.
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Encore une découpe.
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J’utilise les produits que j’ai sous la main, une planche pour faire la base du socle et les morceaux de platane où je vais découper des baguettes pour réaliser l’entourage du socle avec une essence et une couleur différente.
Pose des baguettes du cadre.
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La complexité du serrage.
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Le collage.
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J’ai tout réalisé à la main, sans machines outils. Pour palier le manque de précision, j’ai découpé les bois plus larges et plus épais que nécessaire, ensuite j’ai affiné au rabot et à la ponceuse électrique.
Brut de décoffrage.
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Le ber est prêt.
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Je termine avec plusieurs couches de vernis et j’ai un ber fabrication maison.
Avec le Sous-marin.
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Après le vernis.
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