Bilan
Si le château et les affuts avant sont bien là et bien faits, il manque beaucoup de détails.

Les rambardes ne sont pas là

Les grilles des moteurs de sustentation restent à faire.

Les moteurs de propulsion ne sont pas fonctionnels

Les gouvernes sont bloquées pour des raisons de facilité de construction.

La jupe a souffert de ne pas être utilisée : je vois des décollements entre les morceaux.

La porte arrière est en chantier mais n’est pas montée.
Le chantier
Trop lourd !
Quand je le soulève, je découvre un poids vraiment lourd. Si l’aéroglisseur va sur l’eau, sa construction ressemble quand même beaucoup à celle d’un avion. Le poids reste un ennemi. Sur la balance, il fait 8 kg pour 1m30. Il ne devrait pas dépasser 6 kg... pour respecter la réalité.
Je vais m’atteler à le rendre de nouveau fonctionnel.
Pour gagner du poids, il faut enlever de la matière. Les superstructures ne se démontent pas. J’ai donc décidé de passer par le dessous.
 Trappes ouvertes
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Première étape
Réparer la jupe et vérifier son bon fonctionnement.
 Vue de dessous
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Deuxième étape
Ouvrir la coque en découpant le fond.
J’ai heureusement gardé des photos de 2003. Je peux inciser sans prendre trop de risque. Je vais découper deux longues bandes et sortir toute la mousse de flottabilité accessible. Je la remplacerais par des bulles d’air utilisées pour caler les objets fragiles.
Les trappes sur le dessus ne donnent pas accès à toute la radiocommande. Je vais profiter du chantier pour la réimplanter.
 Coque ouverte
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Troisième étape
Refaire des plans de l’implantation des différents servos.
Il y a les trois contrôleurs de propulsion, la direction, les deux portes, la sustentation.
En 2003 j’avais utilisé 3 batteries NiCd. Aujourd’hui, le LiPo est là. Autant en profiter pour gagner encore des grammes.