Le compartiment central
Il y a d’abord un buzzer détecteur d’eau relié à trois points dans le sous-marin. Au fond de la coque, les accus ; sur les accus, la poche du ballast principal d’un litre. A coté des accus, encore plusieurs blocs de plomb ; sous le plomb, un contact detecteur d’eau.
 Le compartiment central Trappes ouvertes
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 Le compartiment central Trappes fermées
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 Le compartiment central A gauche le "baxter", à droite (flèche jaune) le recepteur. Au centre, le servo qui actionnait une trappe de secours ; en bas, le servo des gouvernes avant et arrière.
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A coté, à droite dans le sens de la marche, le récepteur ; au dessus, le fail safe qui actionne les pompes pour vider le ballast et faire remonter le sous marin dès qu’il ne recoit plus les ondes radio. A coté le lageregler ou correcteur d’assiette, acheté en Allemagne ; il rétablit l’équilibre du sous-marin automatiquement.
 Le compartiment central A gauche le correcteur d’assiette, à droite le "fail safe".
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 Le correcteur d’assiette La pièce de 1 euro donne une idée de sa taille.
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Au centre, un servo qui servait à ouvrir une trappe de secours pour libérer une bouée. Pour l’instant il ne sert pas.
A gauche, le servo qui manœuvre les gouvernes avant et arrière simultanément.
 Vue générale Trappes ouvertes ; l’arrière est à gauche.
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Le compartiment arrière
 Le compartiment arrière L’arrière du sous-marin, trappes ouvertes.
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 Le compartiment arrière L’arrière du sous-marin, trappes fermées.
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A droite, le servo de direction ; à gauche, un servo et deux micro-switchs qui commandent les ballasts d’équilibrage. Ensuite, il y a le variateur (Robbe Rokraft 100) et le moteur (Robbe 12V EF76II) avec un arbre de 4mm.
Sous le tube d’étambot il y a des blocs de plomb, et, dessous, le troisième contact détecteur d’eau. Au dessus du plomb, l’accu de réception.
Ballast arrière
Dans le ballast arrière, le tube d’étambot avec son graisseur type automobile, très pratique.
 Ma pompe à graisse Très pratique pour graisser le tube d’étambot, sa petite taille permet de l’emmener dans ma valise.
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Sous le tube, une poche de 100ml pour l’équilibrage. Tout à l’arrière, sous le graisseur, les gouvernes et leur commande ; on aperçoit le soufflet caoutchouc qui assure l’étanchéité.
Si vous avez bien suivi, vous allez me dire "un soufflet ne sert à rien, il n’y a pas d’eau" ! Non, mais souvenez vous : avant, le sous-marin fonctionnait avec du gaz et l’eau entrait dans ce compartiment, donc il fallait une commande étanche.
Par contre, les barres arrières n’avaient pas besoin d’empêcher l’eau de rentrer alors que maintenant elles doivent être étanches. J’ai donc été dans l’obligation d’installer un joint à lèvre de chaque coté.
 Le R 63 Le sous-marin prêt à naviguer.
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 Le R 63 En exposition.
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 Le R 63 En piscine, posé à deux mètres de profondeur.
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