Après avoir lu les deux articles que j’ai fait paraître précédemment :
Nœuds faciles et Nœuds faciles, la suite, je gage que les nœuds n’ont plus de secrets pour vous ! Mais peut être est il maintenant utile de rappeler à quoi ils servent.
Certains nœuds sont présentés non serrés pour faciliter le compréhension de leur réalisation.
Il s’agit donc d’une sélection de quelques nœuds fréquents sur les bateaus de travail et vieux gréements bretons ou normands du début du 20e siècle, la liste n’est pas exhaustive !
Bien entendu ces nœuds restent utiles à notre époque
 Amarrage plat Par exemple pour enserrer un cap de mouton avec un hauban
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 Nœud de plein poing. Il se noue facilement d’une seule main... avec de l’entraînement !
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 Nœud de raccourcissement. Représenté non serré. Il est aussi appelé nœud de Jambe de Chien.
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 Nœud d’écoute sur une cosse de voile. Représenté non serré.
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 Nœud d’écoute ou de tisserand Ici utilisé pour fixer un gros cordage à un plus fin. Représenté non serré.
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 Capelage des haubans Le rond rouge représente le mât.
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 Manière de faire la surliure au bout d’un cordage. Pour la terminer, on enfile le bout dans la boucle (1), puis on tire sur le bout de départ (2) jusqu’à faire rentrer le bout "1" sous la surliure, pour bien la serrer. Ensuite on coupe l’excédent.
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 Nœud de grappin simple. Représenté non serré. C’est lui qui est pour l’organeau d’une petite ancre.
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 Tour mort et demi-clés Utilisé pour faire une pantoire. Le bout libre est surlié sur le courant (comme sur le nœud de grappin ci dessus)
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 Manière de fixer la ride sur les caps de mouton. L’enroulement se fait derrière le ridage, côté bateau. Côté mer les rides sont parfaitement alignées. La ride est 3x plus fine que le hauban.
On démarre le ridage sur le cap supérieur, par l’arrière, en bloquant le cordage par un nœud d’arrêt.
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